
Samedi 29 novembre 2025, des milliers d’hommes et de femmes en uniformes du XIXe siècle,
à cheval ou à pied, ont livré bataille dans un champ en République tchèque pour
rejouer la victoire de l’empereur
Napoléon sur la Russie et l’Autriche, survenue il y a 220 ans près de
Slavkov, en République tchèque. La reconstitution à grande échelle mettait en
scène cavalerie, infanterie et coups de canon, attirant
des dizaines de milliers de spectateurs
sur le champ de bataille. Cette reconstitution de 90 minutes a rejoué les
moments clés de la bataille, qui avait duré plus de dix heures à l’époque. Mark Schneider, un Américain qui
incarne Napoléon depuis deux
décennies, a participé pour la dernière fois cette année. Cette reconstitution
me permet de parler de Napoléon 1er
dont sa personne et l’impact de son règne font débat. Mais tous s’accordent
pour dire que la marque qu’il a laissée sur son époque et sur les générations futures est prégnante. Napoléon est sans aucun doute
l’archétype du grand homme ayant
bouleversé le monde.

Né en Corse en 1769, il est le 2ème fils de Carlo Maria Buonoparte et de Letizia Ramolino. Le jeune Napoléon Bonaparte reçoit une formation
militaire puisqu’il est admis au collège
militaire de Brienne en 1779 qu’il quitte en 1784 pour l'école royale militaire de Paris, il voit
sa famille contrainte de quitter la
Corse et partir s'installer à Marseille (1793), car elle était engagé contre
l’indépendance de l’île, puis nommé chef d'artillerie, il s’illustre lors du siège
de Toulon (1793), après ces événements, il se lie d’amitié avec Augustin Robespierre, le frère de Maximilien Robespierre, ce dernier va
lui proposer, selon certaines sources, de prendre le commandement de la garde nationale de la capitale, mais il
refuse, et il est ensuite désigné général de brigade par le Comité de Salut public en 1794, mais à
la chute de Robespierre en 1794 il
est mis en prison pendant quelques mois. Isolé dans son appartement parisien,
il peut cependant compter sur le soutien de sa famille ainsi que du président du Directoire Paul Barras.
C’est en réprimant l’insurrection royaliste à Paris (1795), que le jeune
général est remarqué des dirigeants
politiques, il s'éprend follement de la veuve d'un vicomte guillotiné, Joséphine
de Beauharnais et l'épouse dans la foulée, et prend alors la tête de l’armée d’Italie pour combattre les Autrichiens durant la campagne
d’Italie (1796) qui vint à point pour servir son prestige, il y remporte
victoire sur victoire, son audace militaire au pont d’Arcole, va asseoir
sa renommée, et, surtout, le fait savoir dans la presse, et il réussit à faire plier l’Autriche à Campo-Formio (1797), puis se lance dans la campagne
d’Égypte (1798) pour contrer l’Angleterre
qui a développé un commerce florissant. Cette campagne guerrière est
également une expédition scientifique et culturelle. Les victoires du jeune général Bonaparte et son immense
prestige en France poussèrent le Directoire
à l’éloigner pour freiner ses éventuelles ambitions politiques. Les troupes françaises remportent la
bataille des Pyramides, près du Caire, le 21 juillet. Mais le 1er
août, le redoutable amiral anglais
Nelson bloque la flotte française dans la baie d’Aboukir. La
quasi-totalité des bateaux français sont coulés. Il tente de faire oublier sa
défaite par l’expédition scientifique. De retour à Paris en 1799, il
prend le pouvoir lors du coup d’État du 18 brumaire, qui a failli
tourner court en raison de l’opposition des députés, et à trente ans, le militaire
se double alors d’un politique raflant la mise en s'emparant du Consulat avant de confisquer le pouvoir
comme Premier consul. Dans cette "dictature de salut public à la
romaine" les ambitions personnelles de Napoléon s’aiguisent. Car loin des régimes totalitaires de
l’époque, la gestion consulaire, qui exclut presque totalement violence et
brutalité, suscite l’adhésion d’une grande
partie du peuple. Bourreau de travail, Napoléon
parachève l'État moderne, centralisé, avec notamment avec la mise
en place d’institutions : les «masses de granit», beaucoup d’institutions aujourd’hui familières (le
Code civil promulgué en 1804,
son chef-d’œuvre reprenant le travail de la Révolution, qui lui a
survécu, le Concordat en 1801
pour la paix religieuse, la Légion
d’honneur, les préfets, les lycées…). La conservation du pouvoir
acquis le pousse à utiliser l’arme de la dictature,
et progressivement, Napoléon
installe un régime autoritaire où
lui seul décide puisqu’il contrôle l’armée,
les libertés, les lois et les élections, car la centralisation
administrative du pays prend appui sur la surveillance policière et la censure,
la démocratie est confisquée dans
les mains d’un pouvoir exécutif
omnipotent, et la Déclaration des droits
de l’homme et du citoyen disparaît, incompatible avec le pouvoir des propriétaires et l’ordre social promu par le régime, tandis que la présence de complots
notamment l’attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris le 24 décembre 1800
qui débouche l’exécution du Duc
d’Enghien; la guerre sera le moyen de le rendre indispensable, car le Consulat
est marqué par la construction d’une hégémonie autoritaire sur les peuples européens puisque le Premier Consul confie à Moreau le sort de l’Armée du Rhin et se charge de celle d’Italie à la tête de laquelle il
remporte la très difficile victoire de Marengo dont l’exploitation politique
fut brillante, et par une réaction coloniale sanglante et le
rétablissement de l’esclavage en 1802, tandis que l’Autriche, puis l’Angleterre
signent la paix. Convaincu qu’il est le seul capable de gouverner cette
France-là, soucieux de protéger les institutions
de la République et profitant du
moment de grâce dans lequel il se trouve Napoléon
Bonaparte se fait élire consul à vie
en 1802. Une manière selon lui de légitimer son pouvoir et de voir les choses
sur le long terme. Cela permet au despote
d’amplifier le culte de la personnalité à son encontre. Tandis qu’à
l’extérieur, si l’Angleterre ne
respecte pas toutes les conditions du traité de paix, la France de son côté
étend son influence sur l’Allemagne
au détriment de l’Autriche. Dès lors
la guerre est inévitable, mais la prise du Hanovre en 1803 n’efface pas
les désastres coloniaux.

C’est finalement une autre tentative éventée de conjuration royaliste, celle attribuée
à Cadoudal et Pichegru visant à assassiner le chef de l’État, qui poussera les pouvoirs constitués de l’époque à
décréter l’hérédité et l’Empire, et débouchera
sur l’exil de Moreau. Puis, il se
sacre Empereur en 1804 en grande pompe,
à Notre-Dame. Le rétablissement de la monarchie,
impériale celle-là, donne un terme
définitif à la Révolution. En même temps, on assiste aux dérives
autoritaires du nouveau pouvoir, qui
se lance dans de nouvelles entreprises guerrières. Inquiets de son ambition et
des réformes qu’il mène, les Anglais,
Russes et Autrichiens déclarent la guerre à la France. Le projet de débarquement en Angleterre permet de
forger le formidable outil militaire qu’est la grande Armée. Le désastre naval de Trafalgar ne modifie
guère les plans de l’Empereur. 1805
marque une de ses campagnes les plus achevées voyant la victoire d’Ulm
lui permettant de marcher sur Vienne, qui le mène à Austerlitz, où l’épais
brouillard matinal du 2 constitue un auspice pour Napoléon, et malgré l’infériorité numérique, car il a conduit les ennemis à se placer dans la position
désirée où se trouvait une partie de ses troupes cachées dans le brouillard. Il
étend l'influence de la France sur une large partie du continent, il inaugure une nouvelle dynastie qu’il ambitionne de faire régner sur l’Europe. Il place ses frères et sœurs sur le trône de plusieurs
pays entre 1805 et 1809, cependant aucun n'a les mains libres pour
gouverner, ce qui nourrit des rancœurs et des trahisons au sein de la famille, dès lors le Grand Empire se met en place. Au-delà
des limites de l’Empire lui même, la
création de la Confédération du Rhin
permet de mettre sous influence les
princes allemands en récompensant les fidèles
alliés (Bavière, Wurtemberg). Tandis qu’au Sud, le royaume de Naples est confié à Joseph (1806), c’est dès lors toute l’Italie qui passe sous influence française. Seule la Sicile, protégée par la flotte britannique, échappe à cette
domination. Les victoires militaires changent la situation. C’est désormais un Empire multinational rayonnant sur toute l’Europe qui se met en place.
Mais ce faisant, il s’éloigne de plus en plus de son héritage révolutionnaire. Les victoires militaires,
écrasantes sur la Prusse (1806),
battue à Iéna à cause du manque de préparation de ses armées dont les lignes ont été percées
par l’artillerie et la cavalerie, et Auerstedt où la
tactique d’enveloppement de Davout
mit en déroute l’armée prussienne,
plus difficiles sur la Russie (1807), à Eylau sous un froid
hivernal qui voit l’armée française
gagner grâce à son artillerie et à
sa cavalerie, et Friedland où
malgré la résistance russe, cette
dernière est repoussée et les Russes
sont anéantis sous le feu des canons, consacrent la suprématie de la France napoléonienne. Le redécoupage
territorial de l’Europe au profit du
Grand Empire se poursuit. Tandis que
pour vaincre l’Angleterre, le blocus
continental (1806) apparaît être l’outil adéquat. Mais Grisé, Napoléon ne sait pas lever le pied au traité de Tilsit (1807), qui laisse
entendre que France et Russie vont désormais cogérer les affaires
européennes, il mène à la campagne d'Espagne pour installer son frère
Joseph sur un nouveau trône marque le début de la fin (1808-1809) et entraîna
les Français dans un conflit d’un
genre nouveau, mêlant lutte contre la guérilla et opérations
militaires classiques contre l’armée
anglo-portugaise, loin de l’Empereur,
le système se dérègle, Joseph est
incapable de se faire obéir par des maréchaux
qui ne songent qu’à leur carrière, après le soulèvement du peuple de Madrid le 2 mai et la répression terrible du mai 1808,
immortalisés par Goya, qui enflamment
toute l'Espagne, Napoléon décide d’intervenir
personnellement de novembre 1808 à janvier 1809, même s’il remporte des victoires,
entre dans Madrid, il ne gagne pas la guerre d'Espagne, qui
perdure jusqu'en 1814. Il manque à Napoléon
la capacité de se projeter en temps de paix et de stabiliser ce qu'il a créé.
Il ne prend plus que de mauvaises décisions. Autour de lui, on s'alarme. "L'Empereur est fou, tout à fait fou et
tout cela finira par une épouvantable catastrophe", prédit dès 1809 un
ministre. Napoléon a mis la France
au pas et instauré un État policier
mais a parfois la main qui tremble, comme avec Fouché et Talleyrand,
qui complotent. "Tu humilies trop et
ne punis pas assez", l'avait averti Joséphine avant sa répudiation en 1809. Cependant, le pouvoir de l'Empereur repose d'abord sur sa
popularité, savamment mise en scène, confortée par le prestige de la Grande Armée et les nombreuses
victoires militaires que celle-ci remporte dans toute l'Europe. Même si l'Empereur
réduit l'opposition par la surveillance policière, la censure et les prisons d'État, le mécontentement en France et dans les États
vassaux renaît à la suite des privations, de l'augmentation des impôts et
de la crise économique liée au Blocus continental. Alors que l’Autriche
croît pouvoir saisir l’occasion pour se rétablir en attaquant au printemps 1809,
profitant du fait que Napoléon intervient
en Espagne. La campagne d’Allemagne voit à nouveau la France l’emporter, mais plus
difficilement. Avant de triompher à Wagram, l’empereur échoue à Essling,
même s’il a connu des victoires à Eckmühl, et Ratisbonne. De plus
l’alliance russe ne porte pas ses
fruits, l’armée du tsar s’est tenue
en retrait tout au long des opérations. À Wagram, il fait diversion, car
le terrain de la bataille est à son désavantage, où le choix est porté pour un
pilonnage mené par les français avec
leurs batteries de canons, l’archiduc
d’Autriche est contraint de s’enfuir et d’être défait. Le moral des soldats de sa Grande Armée est
affaibli, et la Cinquième Coalition
prend fin avec la signature du traité
de Schönbrunn le 14 octobre. Napoléon
est reconnu roi d’Espagne, et l’Autriche
est contrainte de trahir le Royaume-Uni
en s’alliant à la France; l’empereur
d’Autriche offre sa fille Marie-Louise en mariage à Napoléon. L’Europe
semble soumise mais celui qui prétend diffuser les idées de la Révolution nie la volonté des peuples. Partout fut introduit le Code civil. Des principes juridiques nouveaux (égalité
sociale, liberté civile) se substituèrent à la vieille organisation
féodale, mais avec des nuances. Sur le plan intérieur, la France napoléonienne
s’agrandit encore avec l’annexion de la Hollande
(1806), de l'Étrurie (1807), et des États du pape (1808-1809) suite à la
résistance du pape Pie VII qui
l'excommunie et Napoléon le
fait arrêter en 1809, puis le ramène à Fontainebleau, et il tente de conquérir
le Portugal à trois reprises mais
échoue face aux armées anglo-portugaises
(1807-1813) et à cause de la résistance de la population. Mais ainsi, l’Europe
devient encore plus hétérogène, les nouveaux
sujets n’apprécient guère cet état de fait. La dynamique impériale implique la fondation d’une dynastie.

Empâté, il mène une vie bourgeoise aux Tuileries
avec sa seconde épouse Marie-Louise
qu’il a épousée en 1810, et elle lui a donné l'héritier tant attendu en 1811. Napoléon,
qui a depuis longtemps supprimé en France
les libertés démocratiques, a désormais renoué avec le cérémonial monarchique, créant en
particulier une nouvelle noblesse. Mais
c'est un colosse aux pieds d'argile, à son apogée, il porte la France à son extension maximale, avec 88 millions d'âmes en 1811, la machine
se dérègle, car en France la
situation économique se dégrade, l’opinion
gronde, il faut ainsi mettre en œuvre des mesures
d’assistance tandis que la crise avec la papauté s’aggrave, tandis qu’avec le blocus continental les partenaires
commerciaux traditionnels de l’Angleterre souffrent alors que le système des licences dérogatoires
profite surtout aux Français, et ses
ambitions le mènent à de cuisantes défaites, dont la campagne de Russie
en 1812 qui a lieu du fait que du côté
russe on admet de moins en moins la domination
française sur l’Europe qui se fait au détriment des intérêts du pays d’Alexandre, qui se solde par des dizaines de milliers de morts après la
bataille de la Moskowa le 7 décembre, et le refus de combattre de Koutouzov qui oblige Napoléon à battre en retraite en
octobre 1812, en plein hiver, c'est un désastre, et celle-ci laisse le pays et
ses finances exsangues, tandis que la conspiration de Malet révèle les faiblesses de l’idée dynastique. Dès lors, les Britanniques,
Russes, Prussiens, Allemands et Autrichiens forment des alliances militaires pour faire reculer
Napoléon. L'Europe coalisée l'étrangle. Le système
napoléonien s’effondre alors, l’Empire
doit alors faire face à la montée d’adversaires
de plus en plus nombreux que l’intransigeance de Napoléon pousse à aller jusqu’au bout. Malgré les succès
tactiques remportés en 1813 en Allemagne qui n’évitent pas sa défaite à Leipzig
après des victoires qui l'oblige à se replier sur le Rhin, permettant le
soulèvement de la Belgique et la Hollande tandis que les Autrichiens, avec le soutien des roi et reine de Naples Joachim et Caroline
Murat (beau-frère et sœur de Napoléon), reprennent le trône
en Italie, alors que l’Espagne est également perdue, et 1814
en France même si la campagne est jalonnée de victoires (Brienne,
Montereau, Château-Thierry, Champaubert, Montmirail),
la bataille d’Arcis-sur-Aube, les 20-21 mars, marque le début de la fin
de Napoléon, et le 31 mars 1814, les
Alliés entrent dans Paris, l’Empereur se réfugie au château de
Fontainebleau, et les choses se terminent logiquement par son abdication le 6
avril 1814 le conduisant à l'île d'Elbe,
mais aussi par une restauration
monarchique, où son trône, occupé par Louis
XVIII, et Joseph Bonaparte est
expulsé en mai 1814 d'Espagne. Pour
son ultime retour en France, les Cent-Jours en 1815 après un débarquement
surprise à Golfe-Juan et une remontée expresse du pays à cheval, le
voilà revenu au pouvoir, sans coup férir, le 20 mars 1815 alors que Louis XVIII se réfugie en Belgique la
veille, pour prendre de court tout le monde, il envahit la Belgique avec
une armée qui compte plus de 130 000
hommes, mais il sera vaincu lors d’une ultime bataille à Waterloo le
18 juin 1815 alors que armées
napoléoniennes ne font plus le poids et après que les Alliés ont repris les armes, et terminera ses jours exilé sur
l’île isolée de Sainte-Hélène en
1821, où Las Cases rédige "Le Mémorial", bréviaire
du bonapartisme, laissant derrière
lui une légende impérissable. Il
a demandé à reposer sur les bords de Seine. Dernières volontés exaucées 20 ans
après, aux Invalides, lors de funérailles
grandioses. Son parcours continue d'incarner à la fois la grandeur et les
dérives du pouvoir absolu.
Pour aller plus loin, je vous conseille ces lectures qui
m’ont beaucoup aidé : Reynald
Secher, Guy Lehideux, et Charlie Kiefer, Napoléon Ier : empereur des Français 1769-1804,
1814-1815-1821, Reynald Secher Edition, 2010 (BD), Jean-Philippe Rey, Histoire
du Consulat et du Premier Empire, Editions Perrin, 2017, et https://clio-cr.clionautes.org/histoire-du-consulat-et-du-premier-empire.html,
Fabrice Erre, et Sylvain Savoia, Napoléon, empereur et stratège, éd. Dupuis, 2019 (BD), et https://clio-cr.clionautes.org/le-fil-de-lhistoire-raconte-par-ariane-et-nino-napoleon-empereur-et-stratege.html,
Atsuo Sugaya, Tatsuyoshi Kobayashi, et Masahiro
Komiya, Napoléon, Nobi
Nobi, 2020 (manga), Marc Belissa, et
Yannick Bosc, Le Consulat de Bonaparte : La fabrique de l'État et la société
propriétaire : 1799-1804, éditions La fabrique, 2021, Napoléon Bonaparte - Quelle Histoire,
TV5 Monde et Quelle Histoire, 2021 (documentaire sur Youtube), Christine Hochet,
Napoléon : L'ascension d'un
empire, Le Lys Bleu, 2025, Vanessa
Pontet, Huitième saisonde La
Guerre des trônes : La Véritable Histoire de l'Europe : Le clan Bonaparte : Episode 1 : Napoléon,
l'ascension (1793-1797), Episode
2 : Lucien, le rebelle (1798-1799), Episode 3 : Joseph, l'héritier ?
(1799-1803), Episode 4 : Caroline,
l'ambitieuse (1804-1807), Episode
5 : Un héritier à tout prix (1807-1812), et Episode 6 : Le bal des traîtres (1812-1815), Pernel Media,
2024-2025 (documentaire), https://carnet-dhistoire.fr/anecdotes/guerres-napoleoniennes/,
https://fr.euronews.com/video/2025/11/30/des-milliers-en-tchequie-rejouent-la-victoire-dausterlitz-de-napoleon-contre-russie-et-aut,
https://histoire-image.org/mots-cles/guerres-napoleoniennes,
https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/463072/napoleon-bonaparte-empereur-france-europe,
https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Napol%C3%A9on_I_er/134747,
https://www.lexpress.fr/societe/napoleon-le-petit-corse-devenu-empereur-homme-adule-ou-honni_2149960.html,
https://www.rtbf.be/article/bicentenaire-de-la-mort-de-napoleon-entre-ombre-et-lumiere-les-multiples-visages-de-bonaparte-10754980,
https://www.rfi.fr/fr/connaissances/20211217-les-dates-cl%C3%A9-de-la-vie-de-napol%C3%A9on-bonaparte,
et https://www.universalis.fr/encyclopedie/premier-empire-en-bref/.
Merci !