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mardi 2 décembre 2025

Napoléon 1er, une ambition menant à la chute

Samedi 29 novembre 2025, des milliers d’hommes et de femmes en uniformes du XIXe siècle, à cheval ou à pied, ont livré bataille dans un champ en République tchèque pour rejouer la victoire de l’empereur Napoléon sur la Russie et l’Autriche, survenue il y a 220 ans près de Slavkov, en République tchèque. La reconstitution à grande échelle mettait en scène cavalerie, infanterie et coups de canon, attirant des dizaines de milliers de spectateurs sur le champ de bataille. Cette reconstitution de 90 minutes a rejoué les moments clés de la bataille, qui avait duré plus de dix heures à l’époque. Mark Schneider, un Américain qui incarne Napoléon depuis deux décennies, a participé pour la dernière fois cette année. Cette reconstitution me permet de parler de Napoléon 1er dont sa personne et l’impact de son règne font débat. Mais tous s’accordent pour dire que la marque qu’il a laissée sur son époque et sur les générations futures est prégnante. Napoléon est sans aucun doute l’archétype du grand homme ayant bouleversé le monde.

 

Né en Corse en 1769, il est le 2ème fils de Carlo Maria Buonoparte et de Letizia Ramolino. Le jeune Napoléon Bonaparte reçoit une formation militaire puisqu’il est admis au collège militaire de Brienne en 1779 qu’il quitte en 1784 pour l'école royale militaire de Paris, il voit sa famille contrainte de quitter la Corse et partir s'installer à Marseille (1793), car elle était engagé contre l’indépendance de l’île, puis nommé chef d'artillerie, il s’illustre lors du siège de Toulon (1793), après ces événements, il se lie d’amitié avec Augustin Robespierre, le frère de Maximilien Robespierre, ce dernier va lui proposer, selon certaines sources, de prendre le commandement de la garde nationale de la capitale, mais il refuse, et il est ensuite désigné général de brigade par le Comité de Salut public en 1794, mais à la chute de Robespierre en 1794 il est mis en prison pendant quelques mois. Isolé dans son appartement parisien, il peut cependant compter sur le soutien de sa famille ainsi que du président du Directoire Paul Barras. C’est en réprimant l’insurrection royaliste à Paris (1795), que le jeune général est remarqué des dirigeants politiques, il s'éprend follement de la veuve d'un vicomte guillotiné, Joséphine de Beauharnais et l'épouse dans la foulée, et prend alors la tête de l’armée d’Italie pour combattre les Autrichiens durant la campagne d’Italie (1796) qui vint à point pour servir son prestige, il y remporte victoire sur victoire, son audace militaire au pont d’Arcole, va asseoir sa renommée, et, surtout, le fait savoir dans la presse, et il réussit à faire plier l’Autriche à Campo-Formio (1797), puis se lance dans la campagne d’Égypte (1798) pour contrer l’Angleterre qui a développé un commerce florissant. Cette campagne guerrière est également une expédition scientifique et culturelle. Les victoires du jeune général Bonaparte et son immense prestige en France poussèrent le Directoire à l’éloigner pour freiner ses éventuelles ambitions politiques. Les troupes françaises remportent la bataille des Pyramides, près du Caire, le 21 juillet. Mais le 1er août, le redoutable amiral anglais Nelson bloque la flotte française dans la baie d’Aboukir. La quasi-totalité des bateaux français sont coulés. Il tente de faire oublier sa défaite par l’expédition scientifique. De retour à Paris en 1799, il prend le pouvoir lors du coup d’État du 18 brumaire, qui a failli tourner court en raison de l’opposition des députés, et à trente ans, le militaire se double alors d’un politique raflant la mise en s'emparant du Consulat avant de confisquer le pouvoir comme Premier consul. Dans cette "dictature de salut public à la romaine" les ambitions personnelles de Napoléon s’aiguisent. Car loin des régimes totalitaires de l’époque, la gestion consulaire, qui exclut presque totalement violence et brutalité, suscite l’adhésion d’une grande partie du peuple. Bourreau de travail, Napoléon parachève l'État moderne, centralisé, avec notamment avec la mise en place d’institutions : les «masses de granit», beaucoup d’institutions aujourd’hui familières (le Code civil promulgué en 1804, son chef-d’œuvre reprenant le travail de la Révolution, qui lui a survécu, le Concordat en 1801 pour la paix religieuse, la Légion d’honneur, les préfets, les lycées…). La conservation du pouvoir acquis le pousse à utiliser l’arme de la dictature, et progressivement, Napoléon installe un régime autoritaire où lui seul décide puisqu’il contrôle l’armée, les libertés, les lois et les élections, car la centralisation administrative du pays prend appui sur la surveillance policière et la censure, la démocratie est confisquée dans les mains d’un pouvoir exécutif omnipotent, et la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen disparaît, incompatible avec le pouvoir des propriétaires et l’ordre social promu par le régime, tandis que la présence de complots notamment l’attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris le 24 décembre 1800 qui débouche l’exécution du Duc d’Enghien; la guerre sera le moyen de le rendre indispensable, car  le Consulat est marqué par la construction d’une hégémonie autoritaire sur les peuples européens puisque le Premier Consul confie à Moreau le sort de l’Armée du Rhin et se charge de celle d’Italie à la tête de laquelle il remporte la très difficile victoire de Marengo dont l’exploitation politique fut brillante, et par une réaction coloniale sanglante et le rétablissement de l’esclavage en 1802, tandis que l’Autriche, puis l’Angleterre signent la paix. Convaincu qu’il est le seul capable de gouverner cette France-là, soucieux de protéger les institutions de la République et profitant du moment de grâce dans lequel il se trouve Napoléon Bonaparte se fait élire consul à vie en 1802. Une manière selon lui de légitimer son pouvoir et de voir les choses sur le long terme. Cela permet au despote d’amplifier le culte de la personnalité à son encontre. Tandis qu’à l’extérieur, si l’Angleterre ne respecte pas toutes les conditions du traité de paix, la France de son côté étend son influence sur l’Allemagne au détriment de l’Autriche. Dès lors la guerre est inévitable, mais la prise du Hanovre en 1803 n’efface pas les désastres coloniaux.

 

C’est finalement une autre tentative éventée de conjuration royaliste, celle attribuée à Cadoudal et Pichegru visant à assassiner le chef de l’État, qui poussera les pouvoirs constitués de l’époque à décréter l’hérédité et l’Empire, et débouchera sur l’exil de Moreau. Puis, il se sacre Empereur en 1804 en grande pompe, à Notre-Dame. Le rétablissement de la monarchie, impériale celle-là, donne un terme définitif à la Révolution. En même temps, on assiste aux dérives autoritaires du nouveau pouvoir, qui se lance dans de nouvelles entreprises guerrières. Inquiets de son ambition et des réformes qu’il mène, les Anglais, Russes et Autrichiens déclarent la guerre à la France. Le projet de débarquement en Angleterre permet de forger le formidable outil militaire qu’est la grande Armée. Le désastre naval de Trafalgar ne modifie guère les plans de l’Empereur. 1805 marque une de ses campagnes les plus achevées voyant la victoire d’Ulm lui permettant de marcher sur Vienne, qui le mène à Austerlitz, où l’épais brouillard matinal du 2 constitue un auspice pour Napoléon, et malgré l’infériorité numérique, car il a conduit les ennemis à se placer dans la position désirée où se trouvait une partie de ses troupes cachées dans le brouillard. Il étend l'influence de la France sur une large partie du continent, il  inaugure une nouvelle dynastie qu’il ambitionne de faire régner sur l’Europe. Il place ses frères et sœurs sur le trône de plusieurs pays entre 1805 et 1809, cependant aucun n'a les mains libres pour gouverner, ce qui nourrit des rancœurs et des trahisons au sein de la famille, dès lors le Grand Empire se met en place. Au-delà des limites de l’Empire lui même, la création de la Confédération du Rhin permet de mettre sous influence les princes allemands en récompensant les fidèles alliés (Bavière, Wurtemberg). Tandis qu’au Sud, le royaume de Naples est confié à Joseph (1806), c’est dès lors toute l’Italie qui passe sous influence française. Seule la Sicile, protégée par la flotte britannique, échappe à cette domination. Les victoires militaires changent la situation. C’est désormais un Empire multinational rayonnant sur toute l’Europe qui se met en place. Mais ce faisant, il s’éloigne de plus en plus de son héritage révolutionnaire. Les victoires militaires, écrasantes sur la Prusse (1806), battue à Iéna à cause du manque de préparation de ses armées dont les lignes ont été percées par l’artillerie et la cavalerie, et Auerstedt où la tactique d’enveloppement de Davout mit en déroute l’armée prussienne, plus difficiles sur la Russie (1807), à Eylau sous un froid hivernal qui voit l’armée française gagner grâce à son artillerie et à sa cavalerie, et Friedland où malgré la résistance russe, cette dernière est repoussée et les Russes sont anéantis sous le feu des canons, consacrent la suprématie de la France napoléonienne. Le redécoupage territorial de l’Europe au profit du Grand Empire se poursuit. Tandis que pour vaincre l’Angleterre, le blocus continental (1806) apparaît être l’outil adéquat. Mais Grisé, Napoléon ne sait pas lever le pied au traité de Tilsit (1807), qui laisse entendre que France et Russie vont désormais cogérer les affaires européennes, il mène à la campagne d'Espagne pour installer son frère Joseph sur un nouveau trône marque le début de la fin (1808-1809) et entraîna les Français dans un conflit d’un genre nouveau, mêlant lutte contre la guérilla et opérations militaires classiques contre l’armée anglo-portugaise, loin de l’Empereur, le système se dérègle, Joseph est incapable de se faire obéir par des maréchaux qui ne songent qu’à leur carrière, après le soulèvement du peuple de Madrid le 2 mai et la répression terrible du mai 1808, immortalisés par Goya, qui enflamment toute l'Espagne, Napoléon décide d’intervenir personnellement de novembre 1808 à janvier 1809, même s’il remporte des victoires, entre dans Madrid, il ne gagne pas la guerre d'Espagne, qui perdure jusqu'en 1814. Il manque à Napoléon la capacité de se projeter en temps de paix et de stabiliser ce qu'il a créé. Il ne prend plus que de mauvaises décisions. Autour de lui, on s'alarme. "L'Empereur est fou, tout à fait fou et tout cela finira par une épouvantable catastrophe", prédit dès 1809 un ministre. Napoléon a mis la France au pas et instauré un État policier mais a parfois la main qui tremble, comme avec Fouché et Talleyrand, qui complotent. "Tu humilies trop et ne punis pas assez", l'avait averti Joséphine avant sa répudiation en 1809. Cependant, le pouvoir de l'Empereur repose d'abord sur sa popularité, savamment mise en scène, confortée par le prestige de la Grande Armée et les nombreuses victoires militaires que celle-ci remporte dans toute l'Europe. Même si l'Empereur réduit l'opposition par la surveillance policière, la censure et les prisons d'État, le mécontentement en France et dans les États vassaux renaît à la suite des privations, de l'augmentation des impôts et de la crise économique liée au Blocus continental. Alors que l’Autriche croît pouvoir saisir l’occasion pour se rétablir en attaquant au printemps 1809, profitant du fait que Napoléon intervient en Espagne. La campagne d’Allemagne voit à nouveau la France l’emporter, mais plus difficilement. Avant de triompher à Wagram, l’empereur échoue à Essling, même s’il a connu des victoires à Eckmühl, et Ratisbonne. De plus l’alliance russe ne porte pas ses fruits, l’armée du tsar s’est tenue en retrait tout au long des opérations. À Wagram, il fait diversion, car le terrain de la bataille est à son désavantage, où le choix est porté pour un pilonnage mené par les français avec leurs batteries de canons, l’archiduc d’Autriche est contraint de s’enfuir et d’être défait. Le moral des soldats de sa Grande Armée est affaibli, et la Cinquième Coalition prend fin avec la signature du traité de Schönbrunn le 14 octobre. Napoléon est reconnu roi d’Espagne, et l’Autriche est contrainte de trahir le Royaume-Uni en s’alliant à la France; l’empereur d’Autriche offre sa fille Marie-Louise en mariage à Napoléon. L’Europe semble soumise mais celui qui prétend diffuser les idées de la Révolution nie la volonté des peuples. Partout fut introduit le Code civil. Des principes juridiques nouveaux (égalité sociale, liberté civile) se substituèrent à la vieille organisation féodale, mais avec des nuances. Sur le plan intérieur, la France napoléonienne s’agrandit encore avec l’annexion de la Hollande (1806), de l'Étrurie (1807), et des États du pape (1808-1809) suite à la résistance du pape Pie VII qui l'excommunie et Napoléon le fait arrêter en 1809, puis le ramène à Fontainebleau, et il tente de conquérir le Portugal à trois reprises mais échoue face aux armées anglo-portugaises (1807-1813) et à cause de la résistance de la population. Mais ainsi, l’Europe devient encore plus hétérogène, les nouveaux sujets n’apprécient guère cet état de fait. La dynamique impériale implique la fondation d’une dynastie

 

Empâté, il mène une vie bourgeoise aux Tuileries avec sa seconde épouse Marie-Louise qu’il a épousée en 1810, et elle lui a donné l'héritier tant attendu en 1811. Napoléon, qui a depuis longtemps supprimé en France les libertés démocratiques, a désormais renoué avec le cérémonial monarchique, créant en particulier une nouvelle noblesse. Mais c'est un colosse aux pieds d'argile, à son apogée, il porte la France à son extension maximale, avec 88 millions d'âmes en 1811, la machine se dérègle, car en France la situation économique se dégrade, l’opinion gronde, il faut ainsi mettre en œuvre des mesures d’assistance tandis que la crise avec la papauté s’aggrave, tandis qu’avec le blocus continental les partenaires commerciaux traditionnels de l’Angleterre souffrent alors que le système des licences dérogatoires profite surtout aux Français, et ses ambitions le mènent à de cuisantes défaites, dont la campagne de Russie en 1812 qui a lieu du fait que du côté russe on admet de moins en moins la domination française sur l’Europe qui se fait au détriment des intérêts du pays d’Alexandre, qui se solde par des dizaines de milliers de morts après la bataille de la Moskowa le 7 décembre, et le refus de combattre de Koutouzov qui oblige Napoléon à battre en retraite en octobre 1812, en plein hiver, c'est un désastre, et celle-ci laisse le pays et ses finances exsangues, tandis que la conspiration de Malet révèle les faiblesses de l’idée dynastique. Dès lors, les Britanniques, Russes, Prussiens, Allemands et Autrichiens forment des alliances militaires pour faire reculer Napoléon. L'Europe coalisée l'étrangle. Le système napoléonien s’effondre alors, l’Empire doit alors faire face à la montée d’adversaires de plus en plus nombreux que l’intransigeance de Napoléon pousse à aller jusqu’au bout. Malgré les succès tactiques remportés en 1813 en Allemagne qui n’évitent pas sa défaite à Leipzig après des victoires qui l'oblige à se replier sur le Rhin, permettant le soulèvement de la Belgique et la Hollande tandis que les Autrichiens, avec le soutien des roi et reine de Naples Joachim et Caroline Murat (beau-frère et sœur de Napoléon), reprennent le trône en Italie, alors que l’Espagne est également perdue, et 1814 en France même si la campagne est jalonnée de victoires (Brienne, Montereau, Château-Thierry, Champaubert, Montmirail), la bataille d’Arcis-sur-Aube, les 20-21 mars, marque le début de la fin de Napoléon, et le 31 mars 1814, les Alliés entrent dans Paris, l’Empereur se réfugie au château de Fontainebleau, et les choses se terminent logiquement par son abdication le 6 avril 1814 le conduisant à l'île d'Elbe, mais aussi par une restauration monarchique, où son trône, occupé par Louis XVIII, et Joseph Bonaparte est expulsé en mai 1814 d'Espagne. Pour son ultime retour en France, les Cent-Jours en 1815 après un débarquement surprise à Golfe-Juan et une remontée expresse du pays à cheval, le voilà revenu au pouvoir, sans coup férir, le 20 mars 1815 alors que Louis XVIII se réfugie en Belgique la veille, pour prendre de court tout le monde, il envahit la Belgique avec une armée qui compte plus de 130 000 hommes, mais il sera vaincu lors d’une ultime bataille à Waterloo le 18 juin 1815 alors que armées napoléoniennes ne font plus le poids et après que les Alliés ont repris les armes, et terminera ses jours exilé sur l’île isolée de Sainte-Hélène en 1821, où Las Cases rédige "Le Mémorial", bréviaire du bonapartisme, laissant derrière lui une légende impérissable. Il a demandé à reposer sur les bords de Seine. Dernières volontés exaucées 20 ans après, aux Invalides, lors de funérailles grandioses. Son parcours continue d'incarner à la fois la grandeur et les dérives du pouvoir absolu.

 

Pour aller plus loin, je vous conseille ces lectures qui m’ont beaucoup aidé : Reynald Secher, Guy Lehideux, et Charlie Kiefer, Napoléon Ier : empereur des Français 1769-1804, 1814-1815-1821, Reynald Secher Edition, 2010 (BD), Jean-Philippe Rey, Histoire du Consulat et du Premier Empire, Editions Perrin, 2017, et https://clio-cr.clionautes.org/histoire-du-consulat-et-du-premier-empire.html, Fabrice Erre, et Sylvain Savoia, Napoléon, empereur et stratège, éd. Dupuis, 2019 (BD), et https://clio-cr.clionautes.org/le-fil-de-lhistoire-raconte-par-ariane-et-nino-napoleon-empereur-et-stratege.html, Atsuo Sugaya, Tatsuyoshi Kobayashi, et Masahiro Komiya, Napoléon, Nobi Nobi, 2020 (manga), Marc Belissa, et Yannick Bosc, Le Consulat de Bonaparte : La fabrique de l'État et la société propriétaire : 1799-1804, éditions La fabrique, 2021, Napoléon Bonaparte - Quelle Histoire, TV5 Monde et Quelle Histoire, 2021 (documentaire sur Youtube), Christine Hochet, Napoléon : L'ascension d'un empire, Le Lys Bleu, 2025, Vanessa Pontet, Huitième saisonde La Guerre des trônes : La Véritable Histoire de l'Europe : Le clan Bonaparte : Episode 1 : Napoléon, l'ascension (1793-1797), Episode 2 : Lucien, le rebelle (1798-1799), Episode 3 : Joseph, l'héritier ? (1799-1803), Episode 4 : Caroline, l'ambitieuse (1804-1807), Episode 5 : Un héritier à tout prix (1807-1812), et Episode 6 : Le bal des traîtres (1812-1815), Pernel Media, 2024-2025 (documentaire), https://carnet-dhistoire.fr/anecdotes/guerres-napoleoniennes/, https://fr.euronews.com/video/2025/11/30/des-milliers-en-tchequie-rejouent-la-victoire-dausterlitz-de-napoleon-contre-russie-et-aut, https://histoire-image.org/mots-cles/guerres-napoleoniennes, https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/463072/napoleon-bonaparte-empereur-france-europe, https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Napol%C3%A9on_I_er/134747, https://www.lexpress.fr/societe/napoleon-le-petit-corse-devenu-empereur-homme-adule-ou-honni_2149960.html, https://www.rtbf.be/article/bicentenaire-de-la-mort-de-napoleon-entre-ombre-et-lumiere-les-multiples-visages-de-bonaparte-10754980, https://www.rfi.fr/fr/connaissances/20211217-les-dates-cl%C3%A9-de-la-vie-de-napol%C3%A9on-bonaparte, et https://www.universalis.fr/encyclopedie/premier-empire-en-bref/.

 

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